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L’Aïd, symbole d’harmonie

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L’Aïd, symbole d’harmonie

1 septembre 2016
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01Il est traditionnel d’opposer besoins du corps et désir de l’âme. Les premiers évoquent l’ordre matériel et biologique quant au second il aspire à l’élévation et au détachement du monde physique.
 
L’Aïd est une disposition nécessaire qui permet d’harmoniser l’expression du corps avec celle de l’âme. Etant en parfaite harmonie avec la fitra, nature humaine originelle, l’islam permet de concilier ces deux ordres.
 
Chaque Aïd correspond à un acte d’adoration. Aïd El-Fitr vient après le mois de Ramadan et Aïd Al-Adha coïncide avec l’accomplissement d’un cinquième pilier de l’Islam, le pèlerinage.
 
Cette symbiose entre l’adoration et la fête est très symbolique car les désirs de l’âme n’excluent pas les besoins du corps mais se trouvent renforcés grâce à elle.
 
L’Islam refuse tout excès. Un jour, Salmane Al Farissi (le Perse) rendit visite à Abû Darda, il constata que son frère négligeait sa vie de couple, il jeûnait la journée et priait la nuit durant. Après s’être invité chez lui, il lui imposa de rompre le jeûne et de dormir auprès de son épouse. Il conclut avec ces phrases : « Ton Seigneur a des droits sur toi de même que ton corps, ton épouse et tes hôtes ; donne à chaque ayant droit son dû ». Une fois cette affaire évoquée auprès du prophète (prières et salut sur lui) il confirma les propos de Salmane en disant « Ô Abû Darda, Salmane a une meilleure compréhension que toi ». Cette compréhension est salutaire.
 
Le statut juridique du sacrifice
 
La majorité des savants s’accorde qu’il s’agit d’une sounna fortement recommandée, à l’exception de Abou Hanifah, certains malékites  et du jurisconsulte Al-Laythi qui la considèrent comme une obligation, en s’appuyant sur le verset : « Accomplis donc la prière pour ton Seigneur et sacrifie». L’impératif dans le verset signifie l’obligation.
 
Parmi les preuves avancées par ceux qui le tiennent pour une sounna, le hadith rapporté par l’Imam Ahmad, d’après Ibn Abbas, le Prophète a dit : « Je fus ordonné d’accomplir la prière de doha et d’offrir le sacrifice de l’Aïd mais pas vous ».
 
Union des Organisations Islamiques de France.

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